“TOUT EST FAUX”
Dans tout est faux, Cyprien Chabert joue du leurre et du trompe-l’œil : herbiers imaginaires, ruines recomposées, plans “anciens” réinventés. Entre dessins, gravures, fresques et volumes, le végétal devient outil de mesure et d’illusion, glissant de l’image trouvée à la fiction. L’exposition interroge ce qui fait “vrai” dans l’art et l’architecture : traces, techniques, gestes — et la manière dont la nature, stylisée ou réaliste, colonise nos récits.